Dans un Sénégal vibrant d’espoir et de dynamisme, la promesse du changement s’incarne dans l’ascension politique du Président Bassirou Diomaye Faye. Sa récente élection est le reflet d’un peuple en quête d’équité et de justice, aspirant à remodeler le paysage politique et économique du pays.
Le Sénégal, avec son économie en croissance, fait face à des défis structurels significatifs. La répartition des richesses et des opportunités économiques reste un sujet de préoccupation, avec une tendance observée où les ressources nationales sont souvent gérées par une fraction de la population. Cette situation a contribué à un déficit public de 6,5% en 2022 et à une augmentation de la dette nationale à 75% du PIB. Ces indicateurs soulignent l’importance d’une gestion budgétaire plus équilibrée pour assurer un développement durable et inclusif pour tous les Sénégalais.
La violence économique, résultat de cette disparité, est de plus en plus rejetée par les citoyens. Les urnes ont parlé, appelant à un changement radical face à un État budgétivore où moins de 200 000 fonctionnaires (171 634 agents en 2023 avec une masse salariale de 1 273 milliards) absorbent une part significative du budget national, laissant le secteur informel, qui représente 97% des entreprises, dans une précarité persistante.
L’élection du Président Bassirou Diomaye Faye marque un tournant dans l’histoire politique du Sénégal. Au-delà de la personne du nouveau président, elle traduit le désir ardent de la majorité des Sénégalais de mettre fin à des pratiques ancrées : le “took mouy dokh”, la captation des ressources par une minorité politique et sociale. Ces pratiques ont longtemps alimenté une économie de privilèges et d’exclusion.
La victoire du Président Faye, avec plus de 75% des voix concentrées sur les deux candidats de tête, révèle une volonté populaire de voir émerger un duel politique clair, signe d’une maturité démocratique grandissante. Cette physionomie des résultats appelle à une réorganisation du jeu politique, axée sur l’efficience et la rationalisation des ressources. Un contrôle rigoureux du financement politique et une structuration du pôle de l’opposition sont impératifs pour assurer une gouvernance transparente et responsable.
Le poids de la jeunesse sénégalaise, véritable bombe à retardement, ne peut être ignoré. Ces jeunes, qui ont majoritairement rejeté l’ancien régime, aspirent à une économie dynamique et inclusive. Il est crucial de favoriser l’adaptation des formations professionnelles aux besoins réels de l’économie et d’impulser un élan de consommation locale pour stimuler la production interne.
Enfin, la citoyenneté sénégalaise se trouve à un point d’inflexion. L’engouement des jeunes et leur expression populaire constituent une base solide pour construire un sentiment national fort. À partir de cette effervescence, il est possible de développer de nouveaux réflexes axés sur la propreté, le civisme et l’ordre, répondant ainsi aux besoins quotidiens des Sénégalais.
Alors que le Sénégal se tient à l’aube d’un renouveau, le mandat confié au Président Faye porte en lui le potentiel de transformer radicalement notre pays. Nous lui souhaitons de réussir à réconcilier les Sénégalais, et de relever les immenses défis qui se dressent sur son chemin.
Aboubakr Khalifa Kebe
<73>[email protected]
Aboubakr Khalifa Kebe
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10 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2024 (18:47 PM)-
Tu le connais bien apparemment 😃lui il a assumé et à signé son texte, fais de même pour ton commentaire non
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En Mars, 2024 (19:24 PM)-
Je ne dis pas que c'est son cas mais le nombre de gens qui étaient neutres et qui font des postes pour se faire remarquer est incroyable. Beaucoup d'opportunistes. Que Dieu Protège Président Diomaye des dangereux charognards surtout les soit disant apporteurs d'affaires d'ici et de la diaspora
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En Mars, 2024 (19:09 PM)-
Le tableau est clair, maintenant est ce que les sénégalais accepterons les réformes ? Est ce la nouvelle équipe aura l'habileté politique pour négocier mes choses.. on verra
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En Mars, 2024 (22:10 PM)Incoinnu
En Mars, 2024 (22:08 PM)Awa
En Mars, 2024 (22:12 PM)Zator
En Mars, 2024 (22:14 PM)Partition.
En Mars, 2024 (22:26 PM)-donner un cheque de stimilus 100 milles francs a tout les senegalais pour relancer l'economie
-taxer a 100% les importations de pacotille
-donner tous marches de construction d'ecole d'hopitaux a des entrepreneurs senegalais
-reduire le nombre de ministre je veux dire directeur de projet a 15
-promouvoir le payement des salaires toutes les 2 semaines
-tenir une conference de presse presidentiel tout le 90 jours pour dire, montrer, signaler, communiquer les actions du gouvernement en temps reelle.
-demander a tout les charlatans de produire des diplomes qui verifie leur aptitude a soigner les populations.
-eliminer drastiquement le maisons de debauche( bar, motel etc)
-enregistrer je nedis pas oppresser mais enregistrer toutes personnes qui sont pas senegalais et vivent sur le territoire nationale pour reduire la criminalite parce que les etrangers de bonne foi vont 's'inscrire les mauvais vont fuir eux meme le pays.
- combattre avec toute energie le banditisme urbain
-
tres belle proposition.
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{comment_ads}Citoyen
En Mars, 2024 (08:15 AM)merci
Partition.
En Mars, 2024 (19:03 PM)-donner un cheque de stimilus 100 milles francs a tout les senegalais pour relancer l'economie
-taxer a 100% les importations de pacotille
-donner tous marches de construction d'ecole d'hopitaux a des entrepreneurs senegalais
-reduire le nombre de ministre je veux dire directeur de projet a 15
-promouvoir le payement des salaires toutes les 2 semaines
-tenir une conference de presse presidentiel tout le 90 jours pour dire, montrer, signaler, communiquer les actions du gouvernement en temps reelle.
-demander a tout les charlatans de produire des diplomes qui verifie leur aptitude a soigner les populations.
-eliminer drastiquement le maisons de debauche( bar, motel etc)
-enregistrer je nedis pas oppresser mais enregistrer toutes personnes qui sont pas senegalais et vivent sur le territoire nationale pour reduire la criminalite parce que les etrangers de bonne foi vont 's'inscrire les mauvais vont fuir eux meme le pays.
- combattre avec toute energie le banditisme urbain
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