En séjour au Sénégal, la directrice du Fonds Monétaire International (FMI) qui a été reçue en audience au Palais par Macky Sall a exhorté les pays africains à vacciner leur population contre la Covid, afin de permettre la relance de l’économie Post-Covid.
« Vacciner, étalonner et accélérer. Vacciner au moins 40% de la population dans l’ensemble des pays d’ici à la fin de l’année, au moins 70% d’ici à la mi-2022 et il faut le faire en augmentant les capacités de vaccins en Afrique. L’Afrique doit vacciner l’Afrique », a soutenu Kristalina Georgieva, ce vendredi 9 décembre, devant le chef de l'État, Macky Sall.
Évoquant le renforcement de l’Allocation de droits de tirage spéciaux (DTS) projetée à 650 milliards de dollars, Kristalina Georgieva qualifie d’historique, « cette allocation qui est une véritable injection pour la relance de l'économie mondiale afin d’appuyer les pays frappés par la crise sanitaire liée à la Covid-19 dans le monde ».
D’après la directrice générale du Fmi, « Macky Sall a porté le flambeau de l’Afrique pour la réallocation de 100 milliards de dollars pour les pays en position de force vers les pays qui ont besoin de plus de soutien. C’est ainsi que 58 milliards de dollars sont déjà engagés pour le compte des pays affectés », renseigne-t-elle.
Cette dernière a par ailleurs exprimé toute sa satisfaction sur la qualité de la collaboration avec le Sénégal, avec la BCEAO et avec l’UEMOA.
« Cette coopération est toujours importante mais elle est encore beaucoup plus importante en cette période d’incertitude où nous avons besoin de travailler ensemble pour mettre en place des mesures de relance fortes pour sortir de la crise économique induite par la Covid-19 », a-t-elle fait savoir.
Toutefois, elle déplore la baisse de rythme de la relance qu’elle qualifie de divergence dangereuse entre les pays qui ont un fort taux de vaccination et qui ont un espace budgétaire assez large pour soutenir leur économie et les pays qui sont en train d’accuser du retard dont beaucoup d’entre eux se trouvent dans le continent africain. Elle a, en ce sens, salué les efforts du Sénégal.
« Heureusement pour le Sénégal, la performance est meilleure que la moyenne de l’Afrique subsaharienne. Cette année, la projection de croissance du FMI pour l’Afrique subsaharienne est de 3,7% alors que pour le Sénégal, elle est à 5,4% de croissance proche de la moyenne mondiale », a-t-elle magnifié. Ces efforts ont été soutenus par le secteur privé, l’investissement dans les compétences, l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, a-t-elle fait savoir.
« Vacciner, étalonner et accélérer. Vacciner au moins 40% de la population dans l’ensemble des pays d’ici à la fin de l’année, au moins 70% d’ici à la mi-2022 et il faut le faire en augmentant les capacités de vaccins en Afrique. L’Afrique doit vacciner l’Afrique », a soutenu Kristalina Georgieva, ce vendredi 9 décembre, devant le chef de l'État, Macky Sall.
Évoquant le renforcement de l’Allocation de droits de tirage spéciaux (DTS) projetée à 650 milliards de dollars, Kristalina Georgieva qualifie d’historique, « cette allocation qui est une véritable injection pour la relance de l'économie mondiale afin d’appuyer les pays frappés par la crise sanitaire liée à la Covid-19 dans le monde ».
D’après la directrice générale du Fmi, « Macky Sall a porté le flambeau de l’Afrique pour la réallocation de 100 milliards de dollars pour les pays en position de force vers les pays qui ont besoin de plus de soutien. C’est ainsi que 58 milliards de dollars sont déjà engagés pour le compte des pays affectés », renseigne-t-elle.
Cette dernière a par ailleurs exprimé toute sa satisfaction sur la qualité de la collaboration avec le Sénégal, avec la BCEAO et avec l’UEMOA.
« Cette coopération est toujours importante mais elle est encore beaucoup plus importante en cette période d’incertitude où nous avons besoin de travailler ensemble pour mettre en place des mesures de relance fortes pour sortir de la crise économique induite par la Covid-19 », a-t-elle fait savoir.
Toutefois, elle déplore la baisse de rythme de la relance qu’elle qualifie de divergence dangereuse entre les pays qui ont un fort taux de vaccination et qui ont un espace budgétaire assez large pour soutenir leur économie et les pays qui sont en train d’accuser du retard dont beaucoup d’entre eux se trouvent dans le continent africain. Elle a, en ce sens, salué les efforts du Sénégal.
« Heureusement pour le Sénégal, la performance est meilleure que la moyenne de l’Afrique subsaharienne. Cette année, la projection de croissance du FMI pour l’Afrique subsaharienne est de 3,7% alors que pour le Sénégal, elle est à 5,4% de croissance proche de la moyenne mondiale », a-t-elle magnifié. Ces efforts ont été soutenus par le secteur privé, l’investissement dans les compétences, l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, a-t-elle fait savoir.
7 Commentaires
Sa Suffit !!!
En Décembre, 2021 (13:13 PM)Reply_author
En Décembre, 2021 (23:40 PM)Les sénégalais ne veulent pas dans leur majorité de vaccins, nient le virus , pensent qu'on veut les empoisonner et rendre leurs femmes stériles ( si seulement ça pouvait servir de planning familial contre la démographie galopante de l'Afrique) .
Le bulletin quotidien est un ramassis de mensonges, des contaminés et morts , c'est par centaines et ils nous disent que tout va bien
Reply_author
En Décembre, 2021 (18:22 PM)Remarque
En Décembre, 2021 (22:53 PM)Participer à la Discussion