Le Sénégal, une société inégalitaire ? Du moins, si l’on se fie au rapport sur les conditions de vie des ménages dans notre pays parcouru par L'Observateur.
En effet, des personnes vivent dans une situation de pauvreté extrême alors que des récompenses astronomiques sont octroyées aux grandes fortunes.
L’enquête harmonisée, qui porte sur la période 2018-2019, révèle que le taux de pauvreté monétaire est en baisse de cinq points par rapport à 2011.
Avec 6 millions de pauvres et une pauvreté monétaire estimée à 37,8%, les Sénégalais ont payé en moyenne (par tête) 507.352 Fcfa en dépenses annuelles de consommation.
Soit plus du seuil de pauvreté annuel établi à 333.440 Fcfa, selon les chiffres du rapport final de l’enquête harmonisée épluché par le journal dans sa parution de ce mercredi.
Selon l’étude, qui a porté sur un échantillon de 7176 ménages à travers le pays, le panier obtenu est constitué de 90% de la consommation alimentaire totale des couches sociales intermédiaires.
Dans Dakar urbain, si les plus riches ont un pouvoir d’achat annuel de 1.223.253 Fcfa, les plus pauvres ne sont qu’à 228.324 Fcfa.
Là où les pauvres en milieu rural ont des dépenses de consommation très en deçà du seuil de pauvreté.
Avec 197.163 Fcfa, ces plus pauvres ont un pouvoir d’achat qui flirte avec le seuil annuel de l’extrême pauvreté établi à 186.869 Fcfa.
Au Sénégal, un individu en milieu urbain dépense en moyenne 1818 Fcfa par jour pour l’ensemble de ses besoins de consommation (alimentaire et non alimentaire).
En milieu rural, ce montant se réduit à 1014 Fcfa de frais quotidiens.
Chez les moins nantis, l’achat des produits alimentaires concerne 53,4%, soit plus de la moitié de la consommation, tandis que les ménages considérés comme riches consacrent 44,1% à ce poste de dépense.
Les riches dakarois estiment avoir besoin de 23 millions Fcfa par an pour vivre décemment, contre 5 millions pour les ruraux.
Quid de la rémunération ? Elle est plus élevée dans le public où les salaires mensuels sont estimés en moyenne à près de 250.000 Fcfa contre 94.140 Fcfa dans le privé et 118.257 Fcfa dans les entreprises associatives.
En effet, des personnes vivent dans une situation de pauvreté extrême alors que des récompenses astronomiques sont octroyées aux grandes fortunes.
L’enquête harmonisée, qui porte sur la période 2018-2019, révèle que le taux de pauvreté monétaire est en baisse de cinq points par rapport à 2011.
Avec 6 millions de pauvres et une pauvreté monétaire estimée à 37,8%, les Sénégalais ont payé en moyenne (par tête) 507.352 Fcfa en dépenses annuelles de consommation.
Soit plus du seuil de pauvreté annuel établi à 333.440 Fcfa, selon les chiffres du rapport final de l’enquête harmonisée épluché par le journal dans sa parution de ce mercredi.
Selon l’étude, qui a porté sur un échantillon de 7176 ménages à travers le pays, le panier obtenu est constitué de 90% de la consommation alimentaire totale des couches sociales intermédiaires.
Dans Dakar urbain, si les plus riches ont un pouvoir d’achat annuel de 1.223.253 Fcfa, les plus pauvres ne sont qu’à 228.324 Fcfa.
Là où les pauvres en milieu rural ont des dépenses de consommation très en deçà du seuil de pauvreté.
Avec 197.163 Fcfa, ces plus pauvres ont un pouvoir d’achat qui flirte avec le seuil annuel de l’extrême pauvreté établi à 186.869 Fcfa.
Au Sénégal, un individu en milieu urbain dépense en moyenne 1818 Fcfa par jour pour l’ensemble de ses besoins de consommation (alimentaire et non alimentaire).
En milieu rural, ce montant se réduit à 1014 Fcfa de frais quotidiens.
Chez les moins nantis, l’achat des produits alimentaires concerne 53,4%, soit plus de la moitié de la consommation, tandis que les ménages considérés comme riches consacrent 44,1% à ce poste de dépense.
Les riches dakarois estiment avoir besoin de 23 millions Fcfa par an pour vivre décemment, contre 5 millions pour les ruraux.
Quid de la rémunération ? Elle est plus élevée dans le public où les salaires mensuels sont estimés en moyenne à près de 250.000 Fcfa contre 94.140 Fcfa dans le privé et 118.257 Fcfa dans les entreprises associatives.
12 Commentaires
Msu
En Décembre, 2021 (10:51 AM)Deeesna Touti
En Décembre, 2021 (10:55 AM)Hélène
En Décembre, 2021 (10:58 AM)Rien que de se promener dans les rues, les inégalités sont criardes , un article pour meubler les colonnes du sournal.
Saxal ndjubb
Saxal jamm
Xééx guérr
Saxal ndjubb
Saxal jamm
Défenseur
En Décembre, 2021 (12:13 PM)Défenseur
En Décembre, 2021 (12:20 PM)Stéphane Decoene
En Décembre, 2021 (12:41 PM)Le problème c’est que le sénégalais vit toujours dans le moyen âge avec des croyances dépassées. Faire beaucoup d’enfants à l’époque était source de richesse dans les champs.
Maintenant avoir beaucoup d’enfants ne fait qu’augmenter les problèmes du chef de famille qui le seul à nourrir, à soigner et à prendre en charge l’éducation des enfants.
Papa Camara
En Décembre, 2021 (16:06 PM)Participer à la Discussion