’’ Les travaux de construction de 64 daaras vont démarrer au début
de l’année 2016. Le financement de 10,200 milliards est obtenu de la Banque islamique de développement (BID) dans le cadre du Projet d’appui à la modernisation des daaras’’, a-t-il dit.
Serigne Mbaye Thiam présidait la cérémonie officielle de la signature des contrats de performance des daaras dans le cadre du projet d’amélioration de la qualité et de l’équité de l’éducation de base (PAQEEB/DAARA) financé à hauteur de 3, 7 milliards.
L’appel d’offre est déjà lancé et est entrain d’être dépouillé, a-t-il fait savoir.
Il y a aussi 1 milliard francs Cfa que le chef de l’état avait dégagé pour la réhabilitation, l’extension et la construction des daaras, selon Serigne Mbaye Thiam.
’’Trente-trois daaras sont en train d’être réhabilités ou construits’’, a t-il signalé.
Le chef de l’Etat a injecté 17 milliards pour le développement de l’éducation dans les daaras au cours de ces dernières années, a relevé le ministre.
Interpellé sur la nécessite d’attribuer des bourses sociales aux imams et serigne-daaras, Serigne Mbaye a répondu : ’’ Quand il s’agit d’utiliser de l’argent public pour subventionner des structures qui sont privées, les daaras étant une initiative privée, un cadre juridique doit exister ’’.
’’ Pour subventionner les écoles privées de l’enseignement classique, il y a un décret et une loi qui indiquent les conditions dans lesquelles la subvention doit être octroyée’’, a souligné M. Thiam.
FD/OID
de l’année 2016. Le financement de 10,200 milliards est obtenu de la Banque islamique de développement (BID) dans le cadre du Projet d’appui à la modernisation des daaras’’, a-t-il dit.
Serigne Mbaye Thiam présidait la cérémonie officielle de la signature des contrats de performance des daaras dans le cadre du projet d’amélioration de la qualité et de l’équité de l’éducation de base (PAQEEB/DAARA) financé à hauteur de 3, 7 milliards.
L’appel d’offre est déjà lancé et est entrain d’être dépouillé, a-t-il fait savoir.
Il y a aussi 1 milliard francs Cfa que le chef de l’état avait dégagé pour la réhabilitation, l’extension et la construction des daaras, selon Serigne Mbaye Thiam.
’’Trente-trois daaras sont en train d’être réhabilités ou construits’’, a t-il signalé.
Le chef de l’Etat a injecté 17 milliards pour le développement de l’éducation dans les daaras au cours de ces dernières années, a relevé le ministre.
Interpellé sur la nécessite d’attribuer des bourses sociales aux imams et serigne-daaras, Serigne Mbaye a répondu : ’’ Quand il s’agit d’utiliser de l’argent public pour subventionner des structures qui sont privées, les daaras étant une initiative privée, un cadre juridique doit exister ’’.
’’ Pour subventionner les écoles privées de l’enseignement classique, il y a un décret et une loi qui indiquent les conditions dans lesquelles la subvention doit être octroyée’’, a souligné M. Thiam.
FD/OID
7 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (20:17 PM)des talibés misérables .....pauvre Sénégal !
Charlatan
En Novembre, 2015 (20:23 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (21:17 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (21:47 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (22:29 PM)....
Anonyme
En Novembre, 2015 (17:44 PM)Lune
En Novembre, 2015 (12:38 PM)Tout le monde sait ce dont le Sénégal a besoin en matière d'éducation: des écoles modernes, des bâtiments et des classes qui donnent envie à l'enfant d'étudier et un matériel pédagogique adapté aux exigences du monde nouveau(internet).
A Ziguinchor, cette année pendant les vacances d'été, j'ai découvert l'état de ruine des deux écoles primaires de l'Escale. Je pensais que personne n'y étudiais plus. on m'a dit: si, si, il y aura bien des enfants à la rentrée. Et il y aura de l'herbe plein les classes et des lézards qui tomberont sur la tête des pauvres enfants pendant les classes, ce qui va provoquer une débandade effrénée. Des questions stratégiques s'imposent à de bon gouvernants avant de prendre une telle décision: dans un pays comme le Sénégal, en quoi l'éducation de milliers d'enfants dans des daaras, constitue t'il une avancée par rapport au système scolaire prédominant? Ces enfants seront ils plus adaptés que ceux du système prédominant au monde du travail? Quel est l'enjeu social d'une telle décision pour le Sénégal?
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