Les deux militaires français soupçonnés d'agressions sexuelles sur mineurs au Burkina Faso ont été placés en garde à vue jeudi matin à leur arrivée sur le sol français, a-t-on appris de source judiciaire.
Le parquet de Paris a ouvert mardi soir une enquête en flagrance dans cette affaire, après un signalement du ministère de la Défense.
Deux enquêteurs français se sont rendus à Ouagadougou où ils ont procédé mercredi à des auditions, a fait savoir le ministère.
Les faits auraient été commis dimanche dans un hôtel du Burkina Faso sur deux fillettes âgées de trois et cinq ans, dit-on de source judiciaire.
Le parquet de Paris a ouvert mardi soir une enquête en flagrance dans cette affaire, après un signalement du ministère de la Défense.
Deux enquêteurs français se sont rendus à Ouagadougou où ils ont procédé mercredi à des auditions, a fait savoir le ministère.
Les faits auraient été commis dimanche dans un hôtel du Burkina Faso sur deux fillettes âgées de trois et cinq ans, dit-on de source judiciaire.
Des attouchements sur l'une d'elles auraient été filmés et découverts par sa mère sur une caméra appartenant aux soldats, et oubliée par eux sur les lieux des faits.
"Même s'ils bénéficient de la présomption d'innocence, les informations connues rendent très vraisemblables les faits qui leur sont reprochés", a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense lors d'un point de presse.
Pierre Bayle a précisé que les faits étaient survenus "lors d'une journée de repos et hors de leur casernement".
Les deux fillettes sont françaises ou binationales, a indiqué mercredi le porte-parole du gouvernement.
"Même s'ils bénéficient de la présomption d'innocence, les informations connues rendent très vraisemblables les faits qui leur sont reprochés", a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense lors d'un point de presse.
Pierre Bayle a précisé que les faits étaient survenus "lors d'une journée de repos et hors de leur casernement".
Les deux fillettes sont françaises ou binationales, a indiqué mercredi le porte-parole du gouvernement.
Le ministère de la Défense a décidé à titre conservatoire la suspension des deux hommes.
"Pour tous les actes de harcèlement, discrimination et violence sexuelle, c'est la tolérance zéro sans aucune indulgence", a souligné Pierre Bayle.
Cette affaire intervient deux mois après l'ouverture, par le parquet de Paris, d'une information judiciaire contre X sur des soupçons de viols de mineurs par des soldats français en Centrafrique entre décembre 2013 et juin 2014.
"Pour tous les actes de harcèlement, discrimination et violence sexuelle, c'est la tolérance zéro sans aucune indulgence", a souligné Pierre Bayle.
Cette affaire intervient deux mois après l'ouverture, par le parquet de Paris, d'une information judiciaire contre X sur des soupçons de viols de mineurs par des soldats français en Centrafrique entre décembre 2013 et juin 2014.
(Chine Labbé et Marine Pennetier, édité par Sophie Louet)
3 Commentaires
Thade
En Juillet, 2015 (12:48 PM)Anonyme Boy Laobe
En Juillet, 2015 (13:22 PM)Mèèw
En Juillet, 2015 (13:55 PM)La pédophilie est une pratique plus que répondue dans ces faubourgs leucodermes. Demandez à Jack Lang, Mitterrand, Fabius, Flanby, Valls la tremblotte et toute la meute de dégénérés.
Quenelles XXXXL par palettes entières à flux tendu dans leurs fions d' éner
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