Les Etats-Unis vont prendre la tête de la transition énergétique sous l’impulsion du gouvernement Biden, a affirmé mercredi la ministre américaine de l’Energie, Jennifer Granholm.
“Les Etats-Unis vont être le leader mondial de cette transition”, a déclaré la secrétaire américaine à l’Energie lors d’une allocution dans le cadre de la conférence sur l’énergie CERAWeek, à Houston (Texas).
Mme Granholm a rappelé que sous le mandat du président Joe Biden, le Congrès américain avait adopté un plan d’investissement dans les infrastructures en 2021, puis l’Inflation Reduction Act (IRA), axé notamment sur la transition énergétique.
Au total, ces deux paquets législatifs prévoient une enveloppe de près de 500 milliards de dollars de subventions, prêts et incitations fiscales pour accélérer le développement d’énergies renouvelables, de techniques de neutralisation du carbone et d’infrastructures de stockage et de transport.
“Le gouvernement Biden a fait des Etats-Unis la destination la plus attractive pour les nouvelles énergies et les technologies de décarbonisation”, a fait valoir Jennifer Granholm.
“Dans de nombreux cas, beaucoup de cas, cela rend les Etats-Unis irrésistibles” pour les investisseurs et les industriels étrangers, a martelé la ministre.
“Les Etats-Unis vont être le leader mondial de cette transition”, a déclaré la secrétaire américaine à l’Energie lors d’une allocution dans le cadre de la conférence sur l’énergie CERAWeek, à Houston (Texas).
Mme Granholm a rappelé que sous le mandat du président Joe Biden, le Congrès américain avait adopté un plan d’investissement dans les infrastructures en 2021, puis l’Inflation Reduction Act (IRA), axé notamment sur la transition énergétique.
Au total, ces deux paquets législatifs prévoient une enveloppe de près de 500 milliards de dollars de subventions, prêts et incitations fiscales pour accélérer le développement d’énergies renouvelables, de techniques de neutralisation du carbone et d’infrastructures de stockage et de transport.
“Le gouvernement Biden a fait des Etats-Unis la destination la plus attractive pour les nouvelles énergies et les technologies de décarbonisation”, a fait valoir Jennifer Granholm.
“Dans de nombreux cas, beaucoup de cas, cela rend les Etats-Unis irrésistibles” pour les investisseurs et les industriels étrangers, a martelé la ministre.
Réserves européennes
De nombreux élus et responsables politiques étrangers, en particulier en Europe, ont émis des réserves sur l’IRA, parfois taxé de pénaliser d’autres pays et régions en subventionnant massivement la transition énergétique.
“Les entreprises (européennes) adorent” les mesures américaines, “les gouvernements, pas tellement”, a plaisanté la secrétaire à l’Energie.
“Nous leur disons: allez-y, faites la même chose. Incitez (fiscalement) à la production d’énergies propres dans vos pays”, a-t-elle poursuivi, qualifiant la situation de “compétition amicale”.
“Nous allons continuer à travailler avec nos partenaires”, a-t-elle néanmoins tempéré. “Nous ne voulons pas déclencher de guerre commerciale.”
L’an dernier, aux premiers jours de la guerre en Ukraine, Mme Granholm s’était rendue à CERAWeek pour exhorter publiquement le secteur pétrolier et gazier à augmenter sa production.
Mercredi, elle s’est dite satisfaite de la hausse des volumes produits lors de l’année écoulée aux Etats-Unis, tant en pétrole qu’en gaz, et des perspectives d’une augmentation cette année et l’an prochain, selon les estimations de l’Agence américaine d’information sur l’Energie (EIA).
“Cela a aidé nos partenaires” à éviter des pénuries énergétiques, et, aux Etats-Unis, “cela a permis de limiter la volatilité des prix à la pompe.”
De nombreux élus et responsables politiques étrangers, en particulier en Europe, ont émis des réserves sur l’IRA, parfois taxé de pénaliser d’autres pays et régions en subventionnant massivement la transition énergétique.
“Les entreprises (européennes) adorent” les mesures américaines, “les gouvernements, pas tellement”, a plaisanté la secrétaire à l’Energie.
“Nous leur disons: allez-y, faites la même chose. Incitez (fiscalement) à la production d’énergies propres dans vos pays”, a-t-elle poursuivi, qualifiant la situation de “compétition amicale”.
“Nous allons continuer à travailler avec nos partenaires”, a-t-elle néanmoins tempéré. “Nous ne voulons pas déclencher de guerre commerciale.”
L’an dernier, aux premiers jours de la guerre en Ukraine, Mme Granholm s’était rendue à CERAWeek pour exhorter publiquement le secteur pétrolier et gazier à augmenter sa production.
Mercredi, elle s’est dite satisfaite de la hausse des volumes produits lors de l’année écoulée aux Etats-Unis, tant en pétrole qu’en gaz, et des perspectives d’une augmentation cette année et l’an prochain, selon les estimations de l’Agence américaine d’information sur l’Energie (EIA).
“Cela a aidé nos partenaires” à éviter des pénuries énergétiques, et, aux Etats-Unis, “cela a permis de limiter la volatilité des prix à la pompe.”
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