L’affaire fait grand bruit à Mbour. Un couple est jugé à la barre de la Chambre criminelle pour meurtre. D’après le récit de Bes Bi, qui a assisté à l’audience, les faits remontent au 22 décembre 2022 :
« La dame A. Faye, une restauratrice âgée de 39 ans, divorcée, reçoit la visite de M. Ciss. » Ce dernier, rembobine le quotidien d’information, pique une crise de jalousie, l’accuse de le tromper, et casse tout : miroir, tasses, …
Les choses virent au drame à l’arrivée du nommé A. Diouf, alerté par la dame, sur les lieux. Une bagarre entre les deux rivaux aboutit à la mort de M. Ciss.
« M. Ciss était très jaloux. A chaque fois qu’il me voyait avec une tenue neuve, il se mettait dans tous ses états », s’est défendue la prévenue.
De son côté, A. Diouf a nié avoir asséné le coup qui a été fatal à M. Ciss. Au contraire, a-t-il soutenu, « c’est la victime qui lui a décoché un coup à la tempe ».
Des explications qui n’ont pas convaincu le représentant du Procureur pour qui « les faits de meurtre sont établis » surtout après « l’accrochage entre M. Ciss et A. Diouf ». Selon le maître des poursuites, la dame n’est pas exempte de tout reproche car sermonne-t-il : « C’est son comportement qui a abouti au meurtre ».
« Elle n’est allée chez personne. Elle a appelé A. Diouf qu’elle considère comme son frère pour l’aider », a plaidé Me Abdoulaye Tall, avocat de La Défense.
Délibéré, le 20 juin.
« La dame A. Faye, une restauratrice âgée de 39 ans, divorcée, reçoit la visite de M. Ciss. » Ce dernier, rembobine le quotidien d’information, pique une crise de jalousie, l’accuse de le tromper, et casse tout : miroir, tasses, …
Les choses virent au drame à l’arrivée du nommé A. Diouf, alerté par la dame, sur les lieux. Une bagarre entre les deux rivaux aboutit à la mort de M. Ciss.
« M. Ciss était très jaloux. A chaque fois qu’il me voyait avec une tenue neuve, il se mettait dans tous ses états », s’est défendue la prévenue.
De son côté, A. Diouf a nié avoir asséné le coup qui a été fatal à M. Ciss. Au contraire, a-t-il soutenu, « c’est la victime qui lui a décoché un coup à la tempe ».
Des explications qui n’ont pas convaincu le représentant du Procureur pour qui « les faits de meurtre sont établis » surtout après « l’accrochage entre M. Ciss et A. Diouf ». Selon le maître des poursuites, la dame n’est pas exempte de tout reproche car sermonne-t-il : « C’est son comportement qui a abouti au meurtre ».
« Elle n’est allée chez personne. Elle a appelé A. Diouf qu’elle considère comme son frère pour l’aider », a plaidé Me Abdoulaye Tall, avocat de La Défense.
Délibéré, le 20 juin.
4 Commentaires
Wtf
En Mai, 2024 (09:27 AM)Femmessavantes
En Mai, 2024 (12:29 PM)Redacteur En Chef
En Mai, 2024 (11:38 AM)Divorcé
En Mai, 2024 (13:21 PM)Participer à la Discussion