Entretenir une infrastructure sportive est très complexe, surtout quand elle est utilisée toute une saison sans répit. Le stade Caroline Faye de Mbour n’échappe pas à cette triste réalité.
Rudement mise à l'épreuve par des manifestations de tout ordre, Caroline Faye ne tient plus sous le poids d’une utilisation démesurée.
"Le stade Caroline Faye est un stade municipal qui est géré par la mairie. L'Etat a mis plus d'un milliard pour le remettre. On a joué des phases nationales et n'importe quelles compétitions là-bas", a indiqué le ministre des Sports, Matar Ba.
Vendredi dernier, le ministre déplorait l'état catastrophique de l'infrastructure.
"Une infrastructure, quel que soit l'investissement, si elle n'est pas bien gérée , s'il y a des difficultés, c'est sûr qu'on va vers une détérioration rapide. On ne dit pas qu'il n'y a pas d'efforts mais un gazon synthétique, si on doit organiser un concert, on doit veiller à ce que le gazon ne soit pas troué, s'il y a des matchs aussi, il faut une surveillance stricte pour qu'il n'y ait pas de détérioration au niveau de l'infrastructure", avait assuré Matar Ba.
Pour sa part, le maire reconnaît que le terrain est "surexploité".
"On y organise des évènements religieux, culturels, sportifs, sociaux... J'ai signé un partenariat avec une délégation espagnole pour que la pelouse soit réfectionnée, depuis la pandémie elle n'est pas venue. Les chinois aussi étaient venus mais depuis lors ils ne sont pas revenus", explique Fallou Sylla.
Si certains ont estimé que les propos du ministre ont été disgracieux contre le maire, Fallou Sylla assure que les gens ont mal interprété les propos du ministre.
"Le ministre n'a pas parlé en mal. Il a parlé de toutes les infrastructures en particulier. On s'est entretenu dans son bureau longuement pour parler du Stade", a déclaré l'édile.
La rentabilité de l'exploitation du terrain a été aussi soulevée par Matar Ba. Selon le maire, les recettes permettent au stade de fonctionner et de s’acquitter de ses charges ponctuelles comme l’entretien, la construction de toilettes, le désherbage et autres frais. Une masse salariale mensuelle est prise en charge grâce à la rentabilité répartie entre les gardiens, les femmes de ménage, un chargé des programmes, une assistante, un chargé de la sécurité, un concierge et quatre administrateurs.
Rudement mise à l'épreuve par des manifestations de tout ordre, Caroline Faye ne tient plus sous le poids d’une utilisation démesurée.
"Le stade Caroline Faye est un stade municipal qui est géré par la mairie. L'Etat a mis plus d'un milliard pour le remettre. On a joué des phases nationales et n'importe quelles compétitions là-bas", a indiqué le ministre des Sports, Matar Ba.
Vendredi dernier, le ministre déplorait l'état catastrophique de l'infrastructure.
"Une infrastructure, quel que soit l'investissement, si elle n'est pas bien gérée , s'il y a des difficultés, c'est sûr qu'on va vers une détérioration rapide. On ne dit pas qu'il n'y a pas d'efforts mais un gazon synthétique, si on doit organiser un concert, on doit veiller à ce que le gazon ne soit pas troué, s'il y a des matchs aussi, il faut une surveillance stricte pour qu'il n'y ait pas de détérioration au niveau de l'infrastructure", avait assuré Matar Ba.
Pour sa part, le maire reconnaît que le terrain est "surexploité".
"On y organise des évènements religieux, culturels, sportifs, sociaux... J'ai signé un partenariat avec une délégation espagnole pour que la pelouse soit réfectionnée, depuis la pandémie elle n'est pas venue. Les chinois aussi étaient venus mais depuis lors ils ne sont pas revenus", explique Fallou Sylla.
Si certains ont estimé que les propos du ministre ont été disgracieux contre le maire, Fallou Sylla assure que les gens ont mal interprété les propos du ministre.
"Le ministre n'a pas parlé en mal. Il a parlé de toutes les infrastructures en particulier. On s'est entretenu dans son bureau longuement pour parler du Stade", a déclaré l'édile.
La rentabilité de l'exploitation du terrain a été aussi soulevée par Matar Ba. Selon le maire, les recettes permettent au stade de fonctionner et de s’acquitter de ses charges ponctuelles comme l’entretien, la construction de toilettes, le désherbage et autres frais. Une masse salariale mensuelle est prise en charge grâce à la rentabilité répartie entre les gardiens, les femmes de ménage, un chargé des programmes, une assistante, un chargé de la sécurité, un concierge et quatre administrateurs.
5 Commentaires
Sénégalais
En Septembre, 2021 (19:06 PM)Faye
En Septembre, 2021 (20:00 PM)Yeet
En Septembre, 2021 (20:09 PM)Participer à la Discussion