Lors de la 11e Assemblée générale extraordinaire de la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) qui s’est tenue, le 14 février dernier, à Lomé (Togo), le Sénégal a assisté à la remise en cause de l’accord écrit qui lui réservait la présidence de l’institution.
Cet accord, scellé en, 2020 au moment de la réélection du Ghanéen George Agyekum Donkor à la tête de la banque régionale, stipulait qu’au terme du deuxième mandat de ce dernier, un Sénégalais prendra le relais. Mais à la surprise générale, les représentants du Ghana, du Nigeria et de la Côte d’Ivoire ont voté la révision de l’accord. Un coup de théâtre que les autorités sénégalaises considèrent comme un coup de Jarnac aux relents de trahison. D’autant plus que le Sénégal n’a pas lésiné sur les moyens pour obtenir ce poste, si l’on en croit Jeune Afrique. Le magazine révèle qu’en 2022, Dakar avait réglé tous les arriérés dus à la BIDC.
Le Sénégal garde, néanmoins, espoir d’inverser la tendance. Début avril, les gouverneurs de la banque seront de nouveau convoqués, et la ministre sénégalaise de l’Économie, Oulimata Sarr, devrait cette fois être présente en personne à Lomé pour défendre les chances sénégalaises, renseigne JA. Lors de l’Assemblée générale du 14 février, celle-ci s’était fait représenter par Mame Ousmane Ba
8 Commentaires
Cayorman
En Février, 2023 (20:46 PM)Reply_author
En Février, 2023 (22:21 PM)La scène, relatée par trois des quatre Evangiles (Marc, Matthieu et Luc), se déroule juste après le baptême du Christ. Retiré dans le désert après quarante jours de jeûne, Jésus rencontre le diable, dans un épisode que la tradition qualifiera de « tentation du Christ ». Satan multiplie alors les suggestions – transformer des pierres en pain, sauter dans le vide pour voir si Dieu le sauve, obtenir le pouvoir sur tous les royaumes du monde en échange de son allégeance – et Jésus les refuse. « Après l’avoir tenté de toutes ces manières, le diable s’éloigna de lui jusqu’à un moment favorable », conclut Luc, énigmatique.Mais quel est le sens de cet épisode, central durant la liturgie du carême ? Le diable existe-t-il vraiment, ou n’est-ce qu’un symbole ? Des siècles de controverses théologiques n’ont pas suffi à épuiser cette question. Même au sein de l’Eglise catholique, dont les dogmes sont pourtant fixés et centralisés par Rome, le débat n’a jamais été totalement tranché.« Nous avons créé des figures symboliques, comme le diable, pour exprimer le mal », déclarait par exemple au quotidien espagnol El Mundo, le 31 mai 2017, le père Arturo Sosa, alors fraîchement nommé supérieur de la Compagnie de Jésus. « Les symboles font partie de la réalité, et le diable existe en tant que réalité symbolique et non en tant que réalité personnelle », réitérait-il en août 2019, dans une interview à l’hebdomadaire catholique italien Tempi.
Si on veut diriger ou faire partie des dirigeants d'une structure ou l'actionnariat est la règle, il faut avoir un nombre d'actions qui pourra influer dans les votes lors des choix et directions que prendrait la banque.
A ce stade le Sénégal n'a pas beaucoup d'actions pour peser sur le choix des dirigeants.
Un accord écrit ne remplace pas le poids de chaque actionnaire dans le fonctionnement, lechoix des dirigeants. Un accord peut être changé par le vote à la majorité des actionnaires.
J'ai l'impression que c'est un combat difficile à gagner.
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