Une bonne nouvelle pour les paysans, un motif d’inquiétude pour les populations des zones inondables. D’après l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM), l’hivernage 2024 s’annonce pluvieux, mais il risque de provoquer «une situation catastrophique» avec des risques d’inondations dans les localités exposées.
L’alerte est lancée dans L’Observateur par le chef du service climatologique de l’ANACIM, Diabel Ndiaye. Ce dernier précise que a saison des pluies va se dérouler en deux vitesses : «Au courant du mois de juin, on aura une installation effective de l’hivernage sur la partie Est et sur la partie Sud du pays. Et ça va continuer par rapport à la climatologie en fin juin jusqu’au début du mois de juillet dans les zones Nord et Centre-Nord du pays. Ça, c’est une installation normale.»
Cette situation est comparable à celle de l’année dernière à la même période. Mais entre août et septembre, selon Diablel Ndiaye, l’hivernage sera dans sa deuxième phase avec des niveaux de pluies dans certaines zones supérieurs à 75 mm, dépassant le seuil normal, selon l’ANACIM. «Ça peut occasionner une situation catastrophique», prévient le climatologue.
Ce dernier de développer : «La dynamique actuelle fait montre d’une installation timide du phénomène Niña, […] c’est le refroidissement des eaux pacifiques qui est bien coloré par rapport à la pluviométrie du Sahel. Donc les tendances laissent présager dans la partie ouest du Sahel, y compris le Sénégal, une bonne pluviométrie au cœur de l’hivernage. En résumé, on peut parler d’un début timide avec une installation normale, mais une recrudescence des activités pluvio-orageuses plus qu’on entre vers le cœur de l’hivernage, c’est-à-dire les mois d’août et septembre, avec une perspective de fin tardive.»
Le Sénégal s’avance ainsi vers des mois d’août et de septembre à haut risque d’inondations. Un gros test d’efficacité pour le régime de Diomaye Faye.
L’alerte est lancée dans L’Observateur par le chef du service climatologique de l’ANACIM, Diabel Ndiaye. Ce dernier précise que a saison des pluies va se dérouler en deux vitesses : «Au courant du mois de juin, on aura une installation effective de l’hivernage sur la partie Est et sur la partie Sud du pays. Et ça va continuer par rapport à la climatologie en fin juin jusqu’au début du mois de juillet dans les zones Nord et Centre-Nord du pays. Ça, c’est une installation normale.»
Cette situation est comparable à celle de l’année dernière à la même période. Mais entre août et septembre, selon Diablel Ndiaye, l’hivernage sera dans sa deuxième phase avec des niveaux de pluies dans certaines zones supérieurs à 75 mm, dépassant le seuil normal, selon l’ANACIM. «Ça peut occasionner une situation catastrophique», prévient le climatologue.
Ce dernier de développer : «La dynamique actuelle fait montre d’une installation timide du phénomène Niña, […] c’est le refroidissement des eaux pacifiques qui est bien coloré par rapport à la pluviométrie du Sahel. Donc les tendances laissent présager dans la partie ouest du Sahel, y compris le Sénégal, une bonne pluviométrie au cœur de l’hivernage. En résumé, on peut parler d’un début timide avec une installation normale, mais une recrudescence des activités pluvio-orageuses plus qu’on entre vers le cœur de l’hivernage, c’est-à-dire les mois d’août et septembre, avec une perspective de fin tardive.»
Le Sénégal s’avance ainsi vers des mois d’août et de septembre à haut risque d’inondations. Un gros test d’efficacité pour le régime de Diomaye Faye.
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En Mai, 2024 (08:31 AM)yénné nekk la, trou de balle vas
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