Pour faire de l’Agriculture, « le levier essentiel du développement économique inclusif et durable du Sénégal », le nouveau régime mise, entre autres points, sur la reconstruction du capital semencier.
Sauf que relève l’ancien chef de la Division des semences (DISEM), Amadou Tidiane Ba, le service chargé du contrôle et de la certification des semences, fait face à des difficultés dont un manque de moyens. « Dans sa configuration actuelle, la DISEM est loin de disposer de moyens adéquats [personnel technique, moyens financiers et logistiques] pour remplir convenablement ses missions. D’ailleurs, rien que pour le contrôle des semences pré-base produites à l’ISRA, la DISEM éprouve toutes les difficultés du monde pour le faire », détaille l’ingénieur agronome, interrogé par Bés Bi.
« Une stratégie confrontée à des problèmes de financement depuis 2012 »
Il poursuit : « Actuellement, la DISEM ne contrôle que les pré-bases (G3). Les catégories de semences R1 et R2 sont sous la responsabilité des Directions régionales de développement rurales (DRDR). »
L’interlocuteur du journal avance en ce sens que « la stratégie de reconstitution du capital semencier adoptée depuis 2012 a toujours été confrontée à des problèmes de financement ».
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4 Commentaires
Prg
En Juillet, 2024 (11:46 AM)90 % des producteurs utilisé des semences ni certifié ni homologué. Aucune organisme sénégalais n'est en mesure de créer des variétés. ISRA est devenu une organisme qui ne veut ou les chercher ne font que chercher péridium et produits international pour bonifier leur salaire
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