La Direction de la protection judiciaire et sociale du ministère de la Justice, en collaboration avec l’organisation internationale Save the Children, a organisé, ce mardi 23 juillet, un atelier sur l’institutionnalisation de la protection de remplacement au Sénégal.
L’objectif est d’établir un cadre formel de protection alternative pour les enfants en situation vulnérable.
En effet, le gouvernement du Sénégal avec l’appui de l’ONG veut mettre en place des mécanismes formels de protection de remplacement.
Cette dernière étant une forme de protection alternative de l’enfant, autre que familiale peut être une adoption, nationale ou internationale, un placement en institution, un ‘’confiage’’ ou un placement en famille d'accueil.
«Pour cette dernière forme, il n'y a pas encore de codification des familles d'accueil au Sénégal. Il faut donc identifier une codification qui permette à la fois d'identifier des familles d'accueil, de les agréer, de les contrôler, de les appuyer financièrement pour qu'ils prennent en charge d'autres enfants », a expliqué, Directeur général de la Protection judiciaire et sociale du ministère de la Justice, Amadou Ndiaye.
Ainsi, les décisions issues de cet atelier pourront permettre de développer un cadre de protection plus structuré et efficace, garantissant ainsi que tous les enfants du pays puissent bénéficier d’une prise en charge adéquate et sécurisée.
Save the Children a partagé son expertise internationale en matière de protection de l’enfance.
En effet, l’Ong, en appuyant ce projet d’institutionnalisation du système de protection national entend former ces familles d'accueil « pour savoir comment elles peuvent aider au mieux les enfants qui sont dans des situations de difficultés». «Ces formations peuvent les aider à mieux comprendre les enfants qu'elles accueillent. On pourrait aussi les soutenir, que ce soit au niveau du matériel, du matériel, et cetera, pour qu'ils puissent mieux soutenir les enfants qu'ils accueillent», a affirmé la directrice général de Save de Children Sénégal, Émilie Fernandes.
Par ailleurs, la Direction de la Protection judiciaire et sociale du ministère de la Justice a annoncé le recrutement d’un consultant national. Ce spécialiste aura pour mission de réaliser une évaluation approfondie de l’état des lieux et des pratiques sénégalaises en matière de protection de remplacement.
L’enjeu de ce processus est la proposition de cadre adéquat « parce qu'il y a plusieurs modes de protection de remplacement, et notamment de mode de famille d'accueil. Et à ce moment-là, nous choisirons en tout cas un mode qui est conforme à nos valeurs, à nos coutumes, à nos cultures, etc», a indiqué M. Ndiaye.
Les prochaines étapes de ce projet consisteront à «signer l'accord cadre qui permettra certainement de capter des financements pour réaliser les différentes activités que la direction générale de la protection judiciaire et sociale a déjà planifiées pour l'année 2024 et les années à venir » précise Alassane Ndiaye, conseiller technique au ministère de la justice.
L’objectif est d’établir un cadre formel de protection alternative pour les enfants en situation vulnérable.
En effet, le gouvernement du Sénégal avec l’appui de l’ONG veut mettre en place des mécanismes formels de protection de remplacement.
Cette dernière étant une forme de protection alternative de l’enfant, autre que familiale peut être une adoption, nationale ou internationale, un placement en institution, un ‘’confiage’’ ou un placement en famille d'accueil.
«Pour cette dernière forme, il n'y a pas encore de codification des familles d'accueil au Sénégal. Il faut donc identifier une codification qui permette à la fois d'identifier des familles d'accueil, de les agréer, de les contrôler, de les appuyer financièrement pour qu'ils prennent en charge d'autres enfants », a expliqué, Directeur général de la Protection judiciaire et sociale du ministère de la Justice, Amadou Ndiaye.
Ainsi, les décisions issues de cet atelier pourront permettre de développer un cadre de protection plus structuré et efficace, garantissant ainsi que tous les enfants du pays puissent bénéficier d’une prise en charge adéquate et sécurisée.
Save the Children a partagé son expertise internationale en matière de protection de l’enfance.
En effet, l’Ong, en appuyant ce projet d’institutionnalisation du système de protection national entend former ces familles d'accueil « pour savoir comment elles peuvent aider au mieux les enfants qui sont dans des situations de difficultés». «Ces formations peuvent les aider à mieux comprendre les enfants qu'elles accueillent. On pourrait aussi les soutenir, que ce soit au niveau du matériel, du matériel, et cetera, pour qu'ils puissent mieux soutenir les enfants qu'ils accueillent», a affirmé la directrice général de Save de Children Sénégal, Émilie Fernandes.
Par ailleurs, la Direction de la Protection judiciaire et sociale du ministère de la Justice a annoncé le recrutement d’un consultant national. Ce spécialiste aura pour mission de réaliser une évaluation approfondie de l’état des lieux et des pratiques sénégalaises en matière de protection de remplacement.
L’enjeu de ce processus est la proposition de cadre adéquat « parce qu'il y a plusieurs modes de protection de remplacement, et notamment de mode de famille d'accueil. Et à ce moment-là, nous choisirons en tout cas un mode qui est conforme à nos valeurs, à nos coutumes, à nos cultures, etc», a indiqué M. Ndiaye.
Les prochaines étapes de ce projet consisteront à «signer l'accord cadre qui permettra certainement de capter des financements pour réaliser les différentes activités que la direction générale de la protection judiciaire et sociale a déjà planifiées pour l'année 2024 et les années à venir » précise Alassane Ndiaye, conseiller technique au ministère de la justice.
4 Commentaires
Deugdeug
En Juillet, 2024 (17:50 PM)@@tab From Doulobou
En Juillet, 2024 (18:43 PM)Sortez nos enfants de vos temples maçonniques dégoûtants.
M Seck
En Juillet, 2024 (20:22 PM)Participer à la Discussion