L’affaire a fait des vagues dans le monde depuis que le document confidentiel subtilisé par Edward Snowden a été révélé par Cbc news, en collaboration avec The Intercept. En effet, selon Libération qui donne l’information, il ressort de ce document que la Nsa et ses alliés voulaient infiltrer Google Play et Samsumg App pour «écouter» les Smartphones.
Selon le document, le projet dénommé «Five Eyes» était piloté par une unité appelée Tradecraf Advancement Team qui comprenait, outre la Nsa, des agents des services secrets Canadiens, Anglais, nouvelle Zélandais et Australie.
Le document révèle que la Nsa voulait espionner les Smartphones qui sont les principaux moyens de communication dans des pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord afin que les agences puissent lancer une surveillance de masse sur ce type de révolution. «Il prévoyait de pirater les connections à la boutique d’applications, d’implanter des logiciels malveillants pour récolter des données dans les Smartphones.
Les agences voulaient également envoyer des informations erronées à des personnes d’intérêts», selon ‘’Le Parisien’’.
Les agences étaient particulièrement intéressés par l’Afrique, notamment le Sénégal, le Soudan et le Congo.
27 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2015 (16:56 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (17:13 PM)Deug
En Mai, 2015 (17:32 PM)Sachez que aucun pays au monde n'est épargné.
ça fera meme rire à Macky Sall . Xam nako bou yageu avant même qu'il soit président.
Xeme
En Mai, 2015 (17:45 PM)Il existe très peu d'appareils informatique qui ne peut servir d'espion. Et les américains ayant atteint le summum de l'auto terrorisme auraient même aimer connaître ce que pensent les autres. L'Amérique a peur de la pensée des autres.
Anonyme
En Mai, 2015 (17:49 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (17:57 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (17:57 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (18:07 PM)Je croyez que tout le monde était au courant de ça.
La toudrikoul absarr,wa houwa youdrikoul absarr S6v103
Anonyme
En Mai, 2015 (18:10 PM)Walo Walo
En Mai, 2015 (18:23 PM)SKYPE et autres n en parlons pas
Diaw
En Mai, 2015 (18:30 PM)Atypico
En Mai, 2015 (20:00 PM)Rien Que La Vérité
En Mai, 2015 (21:13 PM)Comment cela aurait-il été rendu possible ? Les experts canadiens ne donnent aucune indication sur le service secret français qui est derrière cette manœuvre, mais tout porte à croire qu'il s'agit de la Direction générale de sécurité extérieure (DGSE), "seul service disposant de l'expertise technique capable de conduire une telle opération", souligne Le Monde.
Dans une autre note interne des services secrets techniques britanniques (GCHQ), extraite des archives de l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine par son ex-consultant Edward Snowden, la DGSE était déjà citée comme auteur d'une "collecte de données libre de tout contrôle", avec la collaboration étroite d'un "opérateur de télécommunication français" qui ne serait autre que France Télécom-Orange, selon les investigations du Monde.
Orange, qui partagerait ses données concernant aussi bien les Français que les étrangers à la DGSE, est "implanté aujourd'hui dans 21 pays d'Afrique et du Moyen-Orient" et "[comptait] 95 millions de clients à la fin 2012".
Contacté par Le Monde, Stéphane Richard, patron d'Orange, reste sur la défensive. "Tout ceci se fait sous la responsabilité des pouvoirs publics dans un cadre légal". Pas sûr que cette déclaration rassure à Abidjan, à Alger, ou partout ailleurs sur le continent.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Cyberespionnage | Orange - DGSE : Africains, téléphonez, la France vous espionne ! | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
De Dakar
En Mai, 2015 (21:19 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (21:32 PM)avec ces "Fanny" , "babar" , Prism et autres on est dans la merde.
Je me demande s'il veut écouté le Paradisou l'Enfer va savoir
Dgse/nsa( France/usa?
En Mai, 2015 (21:40 PM)Depuis cinq années, la France espionnerait les pays africains. À en croire un document interne du Centre de la sécurité des télécommunications du Canada (CSEC), dont Le Monde a pu se procurer une copie, les services secrets français auraient mis en place "une vaste opération de piratage informatique, qui aurait débuté en 2009 et se poursuivrait toujours, grâce à un implant espion".
Parmi les pays concernés par cet espionnage informatique de l'État français, on retrouve la Côte d'Ivoire et l'Algérie, croient savoir les services secrets canadiens qui ont détecté l'implant suspect français dans ces deux pays africains, mais aussi au Canada, en Espagne, en Grèce et en Norvège.
Orange en collaboration étroive avec la DGSE
Comment cela aurait-il été rendu possible ? Les experts canadiens ne donnent aucune indication sur le service secret français qui est derrière cette manœuvre, mais tout porte à croire qu'il s'agit de la Direction générale de sécurité extérieure (DGSE), "seul service disposant de l'expertise technique capable de conduire une telle opération", souligne Le Monde.
Dans une autre note interne des services secrets techniques britanniques (GCHQ), extraite des archives de l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine par son ex-consultant Edward Snowden, la DGSE était déjà citée comme auteur d'une "collecte de données libre de tout contrôle", avec la collaboration étroite d'un "opérateur de télécommunication français" qui ne serait autre que France Télécom-Orange, selon les investigations du Monde.
Orange, qui partagerait ses données concernant aussi bien les Français que les étrangers à la DGSE, est "implanté aujourd'hui dans 21 pays d'Afrique et du Moyen-Orient" et "[comptait] 95 millions de clients à la fin 2012".
Contacté par Le Monde, Stéphane Richard, patron d'Orange, reste sur la défensive. "Tout ceci se fait sous la responsabilité des pouvoirs publics dans un cadre légal". Pas sûr que cette déclaration rassure à Abidjan, à Alger, ou partout ailleurs sur le continent.
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Depuis 2014
En Mai, 2015 (21:44 PM)Installé jusqu'ici à Libreville, au Gabon, le bureau de liaison en Afrique subsaharienne de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, le contre-espionnage français) sera transféré en janvier 2014 à Dakar, au Sénégal. But de la manoeuvre : faire face plus efficacement au risque terroriste au Sahel et aider les pays de la région à collecter et à traiter des informations sur les groupes jihadistes.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Afrique - France | Gabon - Sénégal : la DCRI française passe de Libreville à Dakar | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
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Mouyene
En Mai, 2015 (22:25 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (22:29 PM)Moms
En Mai, 2015 (22:42 PM)Al Maktum
En Mai, 2015 (22:49 PM)C'est la seule solution et j'en donne des cours.
Venez vous inscrire
Anonyme
En Mai, 2015 (23:23 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (23:43 PM)Normal
En Mai, 2015 (23:58 PM)celui qui n a rien à se reprocher , n a pas à se faire du mauvais sang
quant on imagine le projet de conversion diabolique des enturbannés ,
y a de quoi surveiller pour anticipé ,afin d etre réactif face aux talibans ,leur bras droit
ou affidés complétement drogué de lectures pseudo_religieux !
celui qui n a rien à se reprocher ,n a cas dormir trankilou
Anonyme
En Mai, 2015 (00:10 AM)Liti
En Mai, 2015 (00:54 AM)Anonyme
En Mai, 2015 (15:35 PM)Participer à la Discussion