Il s’agit des étudiants en licence Mathématique et Informatique. La
cause de leur acte, le Rectorat demande la tenue de leur examen pour la
licence en 5e année et non en 3e année. Pour les étudiants cela est
handicapant car ils risquent de voir leur licence invalidée parce que
devant se faire dans les trois ans avec le système LMD ensuite
l’obtention de préinscription pour des écoles étrangères va poser
problème.
Autant d’explications fournies au micro de la Rfm par des étudiants qui se disent déterminés « à aller jusqu’au bout ».
7 Commentaires
Alassane Gueye
En Août, 2012 (11:41 AM)C'est la deuxiéme fois qu'une gréve se tienne dans ce temple du savoir et on avait enrégistré des victimes et l'Etat n'avait rien foutu.Leur voila encore dans cette cource de la mort rien que pour revandiquer leurs droits.
Je sollicite le ministre de l'étucation nationnale,le ministre de l'intérieur,le ministre de la santé,cette fois ci s'ily'a des victimes vous allez nous entendre sur le plan internationational.
Bbb
En Août, 2012 (20:26 PM)Etudiant Thies
En Août, 2012 (21:45 PM)Malick Seck
En Août, 2012 (14:07 PM)A tout les étudiants de l'UT baagn ba déé rek on est tous à coeur avec vous. Bon courage
Lass
En Août, 2012 (14:18 PM)mais je suis d'accord avec vous ya des imcompetents qu'il faut renvoyer
Etudiant Et Délégue De Thiès
En Août, 2012 (20:16 PM)Citoyen
En Septembre, 2012 (09:01 AM)Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui feignent de ne rien savoir pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qu'ils ont nommé à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise. Face à la démission de l’État, chaque corporation cherche une solution pour améliorer ses conditions d'existence et parfois au détriment de la communauté. Cette situation est donc une conséquence de l'inaction de l’État. En effet quand les dirigeants (nommés par le Président) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde, les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS. A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs).
L’État ne peut continuer à protéger ceux qui mettent à genou nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats, je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens du systèmes pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.
C'est un appel à tous les patriotes de notre pays, il faut un sursaut national si nous voulons léguer un Sénégal émergeant aux générations futures.
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