Gerhard Schröder attaque le parlement allemand en justice pour s’opposer aux sanctions qui lui ont été infligées en raison de ses liens avec la Russie et Vladimir poutine. L’ancien chancelier allemand veut récupérer ses privilèges, a indiqué son avocat.
L’ancien homme politique âgé de 78 ans a dû renoncer à son cabinet et son personnel, mais a conservé sa pension et une équipe de protection. Selon l’avocat de M. Schröder, la démarche du Bundestag est illégale.
Le parti social-démocrate allemand (SPD) a décidé début du mois de ne pas exclure de ses rangs l’ex-chancelier Gerhard Schröder.
L’homme est sous le feu des critiques depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, en raison de son refus de condamner l’attitude russe, ce qui nuit à la réputation de l’Allemagne, selon le Bundestag.
L’ex-dirigeant, mentor de l’actuel chancelier Olaf Scholz, s’est résolu en mai à quitter le conseil d’administration de la compagnie pétrolière Rosneft et dit avoir renoncé à entrer dans celui du géant gazier Gazprom.
Contrairement à la plupart des anciens dirigeants européens présents avant la guerre dans les instances dirigeantes des entreprises russes, M. Schröder, également très impliqué au sein de Nord Stream AG, les gazoducs controversés entre la Russie et l’Allemagne, a tardé à démissionner de ses différentes fonctions.
L’ancien homme politique âgé de 78 ans a dû renoncer à son cabinet et son personnel, mais a conservé sa pension et une équipe de protection. Selon l’avocat de M. Schröder, la démarche du Bundestag est illégale.
Le parti social-démocrate allemand (SPD) a décidé début du mois de ne pas exclure de ses rangs l’ex-chancelier Gerhard Schröder.
L’homme est sous le feu des critiques depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, en raison de son refus de condamner l’attitude russe, ce qui nuit à la réputation de l’Allemagne, selon le Bundestag.
L’ex-dirigeant, mentor de l’actuel chancelier Olaf Scholz, s’est résolu en mai à quitter le conseil d’administration de la compagnie pétrolière Rosneft et dit avoir renoncé à entrer dans celui du géant gazier Gazprom.
Contrairement à la plupart des anciens dirigeants européens présents avant la guerre dans les instances dirigeantes des entreprises russes, M. Schröder, également très impliqué au sein de Nord Stream AG, les gazoducs controversés entre la Russie et l’Allemagne, a tardé à démissionner de ses différentes fonctions.
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