Le célèbre avocat sénégalais, président d’honneur de la Fédération internationale des droits de l’homme (Fidh) a fustigé « la condamnation à géométrie variable » de la situation en Egypte.
Invité de l’émission Point de Vue de la télévision nationale RTS1, ce dimanche, Me Sidiki Kaba s’est arrêté notamment sur le fait que beaucoup de ces pays refusent à user du terme « coup d’Etat », après la destitution et la mise aux arrêts du président Mohamed Morsi. Alors que, explique l’ancien président de l’Organisation nationale des droits de l’homme (Ondh), il n’y a pas d’autres termes valables devant cette action de l’Armée qui a fait perdre le pouvoir au seul président démocratiquement élu de l’histoire de l’Egypte. Un pays où, l’Armée règne en maître absolu. Me Kaba de citer la destitution du Roi Farouk, les régimes de Gamal Abdel Nasser, Anouar Al Sadat et Hosni Moubarak.
5 Commentaires
Ridicule
En Juillet, 2013 (22:44 PM)Les intellectuels africains devraient cesser d'être les marionnettes des intérêts étrangers au continent à travers ces organisations "non" gouvernementales.
Les états africain devraient prendre en charge le financement par la loi des organisations de défense et de protection des droits de l'homme en Afrique et éviteraient de ce fait ques ces dernières ne soient manipulés par des intérêts politique pour déstabiliser le pouvoir dans les pays qui ne perpétuent pas leur mainmise sur leur économie (ex le Sénégal de 2004 à 2012).
Diaw
En Juillet, 2013 (22:59 PM)Dem Rek
En Juillet, 2013 (23:30 PM)Red...
En Juillet, 2013 (23:42 PM)...
...ET PUIS Me KABA..... SUR LE MALI..... TU AS REPONDU ABSENT.....
... L'ESCLAVE RESTERA TJRS ESCLAVE....
Thiessois
En Juillet, 2013 (10:55 AM)Participer à la Discussion